Réduction des risques de maladies graves, santé du cœur, prévention de l’obésité et du diabète : voici les quatre bienfaits de l’activité physique qui vont prolonger votre espérance de vie !

La science est formelle : la pratique régulière d’une activité physique permet de vivre plus longtemps. L’équivalent de 3 heures par semaine de marche rapide diminue ainsi de 30 % le risque de mourir avant 65 ans. Ce chiffre s’explique par les effets préventifs de l’activité sur le développement de certains problèmes de santé. Le point en quatre bienfaits !

Bouger limite la prise de poids et l’obésité

En augmentant nos dépenses en calories, l’activité physique nous aide à réguler notre poids. Les risques associés au surpoids sont donc moins importants : cancers, diabète, maladies cardio-vasculaires, etc.

Bouger prévient les maladies cardio-vasculaires et l’hypertension artérielle

Lorsqu’on pratique une activité physique, nos muscles ont besoin d’oxygène, et notre cœur est sollicité pour leur apporter le sang dont ils ont besoin. Résultat : le cœur s’entraine, il devient plus efficace. Le rythme cardiaque, au repos et à l’effort, diminue progressivement. La tension artérielle diminue aussi, et tout le système circulatoire est stimulé : on a moins de chances d’être victime d’une maladie du cœur ou des vaisseaux !

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Bouger empêche le développement de certains cancers

Sein, côlon, poumon ou utérus : les études montrent que la pratique régulière d’une activité physique permet de diminuer nettement — jusqu’à 50 % — les risques de développer certains cancers. Les mécanismes impliqués sont encore mal connus. Il est probable que le rôle de l’activité physique pour prévenir le surpoids soit un facteur déterminant.

Bouger aide à lutter contre le diabète de type 2

Pour soutenir un effort, notre corps a besoin de forces. Il doit puiser dans ses réserves d’énergies en libérant le glucose stocké dans nos cellules grâce à une hormone appelée insuline. Une activité physique régulière permet de stimuler ce mécanisme, et contribue à améliorer son efficacité. On a alors moins de chance de développer un diabète de Type 2, une maladie qui se déclare quand l’insuline ne parvient plus à faire son travail efficacement.

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Sources

Effets de l’activité physique sur l’anxieté et la dépression — La Presse Médicale

Comportements alimentaires et activité physique des Réunionnais — Inserm

Synthèse des travaux sur la nutrition à La Réunion — Observatoire Régional de la Santé de La Réunion

Activité physique — Inserm

La santé par l’activité physique — Inpes

La santé vient en bougeant — Manger Bouger

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Tous nos articles sont rédigés avec l’aide de professionnels de santé de La Réunion.