Depuis l’ouverture de la campagne de vaccination pour lutter contre l’épidémie de covid-19, sur les réseaux sociaux, une question revient : “depuis quand un vaccin i fé en 2 jrs ? “

Comment avoir confiance dans un vaccin si récent ?

Si la Covid-19 est une maladie récente, le procédé de la vaccination ne l’est pas lui ! Les scientifiques à la manœuvre pour développer un vaccin contre l’épidémie le SARS-CoV-2 ne sont pas partis de rien.

Les laboratoires qui se sont lancés dans la course au vaccin pour lutter contre la pandémie de Coronavirus ont bénéficié des travaux déjà réalisés pour la mise au point de vaccins contre d’autres coronavirus, le SRAS-CoV et le MERS-CoV notamment.

Même les nouveaux procédés utilisés, comme les vaccins à ARN messager (fabriqués à partir du code génétique du virus – voir encadré suivant) ne sont pas si nouveaux : des chercheurs travaillent sur ce type de vaccin depuis les années 1990. Fabriqués à partir du code génétique du virus, cette technique permet d’informer notre système immunitaire sur la stratégie à adopter pour combattre le virus lorsqu’il y sera confronté.

À Savoir

ADN, ARN, qu’est ce que c’est et comment ça marche ?

Depuis le début de la pandémie, beaucoup de nouveaux mots (ou plutôt des mots auparavant employés surtout par les scientifiques et les médecins) sont apparus : “comorbidités”, clusters, “anosmie” ou encore “ARN”. Pourquoi l’ARN est il aussi important ?

L’ADN (pour acide désoxyribonucléique), tout le monde en a entendu parler : pour imager, il s’agit d’un livre d’instructions qui indiquerait la façon de construire et de fonctionner d’un être vivant (insectes, être humains, animaux, plantes…tous ont de l’ADN). Cet ADN est constitué de gènes qui sont à l’origine de nos caractéristiques individuelles : couleur des yeux, taille de nos os…tout ! Chaque être vivant a sa copie unique d’ADN, et c’est ce qui fait que personne ne se ressemble. Cet ADN est enfermé dans le noyau de chaque cellule de notre corps. Quand une cellule se divise, cet ADN est répliqué à l’identique pour la nouvelle cellule. Si une modification se produit au niveau d’un gène lors de cette réplication, on parle de mutation.

Pour que le corps fonctionne, il faut des protéines. Ces protéines sont synthétisées à l’intérieur de nos cellules grâce à l’ADN qui donne les instructions. Pour passer de l’ADN à une protéine, l’intermédiaire est ce fameux ARN messager (pour acide ribonucléique) : l’ARN correspond à une copie d’une région de l’un des brins de l’ADN. L’ARN sera en fait un peu l’ADN de la protéine.

Alors pourquoi parle t-on de virus à ARN ? En fait, les virus peuvent avoir leur matériel génétique sous forme d’ADN ou d’ARN. Ces caractéristiques sont utilisées pour classer les différents virus. Les virus à ARN ont l’avantage de ne pas avoir besoin de pénétrer dans le noyau des cellules pour pouvoir se répliquer, car ils ont le plus souvent leur propre système de réplication. Il leur suffit donc de rester à coté du noyau des cellules. Et le cornavius-19 est un virus à ARN.

C’est la raison pour laquelle on parle de “vaccin à ARN”.

Le principe de la vaccination en général est simple : il consiste à injecter une forme atténuée ou inactivée d’un agent infectieux ou de certains de ses composants dans l’organisme pour le préparer à un contact ultérieur avec cet agent. La vaccination permet ainsi de développer des cellules immunitaires « mémoires », capables de reconnaître à nouveau immédiatement cet agent si l’individu venait à y être exposé « naturellement ».

Dans le cas de la vaccination contre la covid, un morceau seulement de l’ARN du virus est injecté ; cette séquence contient des instructions pour la production d’une protéine du coronavirus. Les cellules du corps peuvent donc fabriquer elles-mêmes cette protéine choisie pour sa capacité à déclencher une réponse protectrice. Ainsi, lorsque la personne vaccinée est confrontée au coronavirus, son corps est armé pour le repousser. Et si vous avez bien lu cet encadré et tout compris, vous en déduirez que l’ARN injecté via le vaccin n’a aucun risque de transformer notre génome ou d’être transmis à notre descendance puisqu’il ne pénètre pas dans le noyau des cellules ! Or, c’est dans ce noyau cellulaire que se situe notre matériel génétique.

Peut-on attraper la covid-19 une fois vacciné ?

La réponse simple et rapide est : oui, mais vous avez (beaucoup) moins de risques. La réponse détaillée est un peu plus longue.

Car il n’y a pas d’absolu en matière de vaccination, pas de 100 % ou de 0 % : tout est question de probabilité et de calcul de risque. D’autant que cette question est en réalité assez vaste, et cache trois notions importantes :

  • Si l’on est porteur, peut-on développer des symptômes malgré la vaccination ?
  • Peut-on contracter le virus malgré la vaccination, c’est-à-dire en être porteur même si on ne ressent aucun symptôme ?
  • Enfin, si l’on contracte le virus, avec ou sans symptômes, peut-on contaminer les autres malgré la vaccination ?

Pour ces trois questions-clé, la réponse semble être aujourd’hui la même : oui, c’est possible, mais les risques diminuent beaucoup grâce à la vaccination.

Peut-on développer des symptômes malgré la vaccination ?

C’est l’effet le mieux connu des vaccins aujourd’hui : ils préviennent ou atténuent très efficacement les conséquences de la maladie. Pour ne parler que des vaccins utilisés à La Réunion, dès les essais cliniques, ils ont démontré leur capacité à prévenir les formes symptomatiques légères à modérées :

  • COMINARTY (Pzifer-BioNTech) – deux injections : 95 % contre la souche historique, 72.1 % contre le variant sud-africain, dominant à La Réunion (lien)
  • JANSSEN (Johnson & Johnson) – une seule injection : 66,9 %, même en présence du variant sud-africain, dominant à La Réunion (lien)

Pour le vaccin Pfizer-BioNTech, largement déployé dans le monde depuis le début de l’année, de nombreuses études conduites par des chercheurs de tous horizons ont depuis confirmé ces premiers résultats.

A RETENIR DONC : Il est donc possible d’avoir des symptômes malgré la vaccination, mais c’est peu probable. Et le cas échéant, ces symptômes sont moins graves que si vous n’aviez pas été vacciné.e. L’efficacité de la vaccination varie aussi en fonction des personnes. Chez les personnes très âgées ou dont le système immunitaire est affaibli, le vaccin peut se montrer moins efficace ; une troisième dose peut alors être recommandée.

Peut-on contracter le virus malgré la vaccination ?

Fin 2020, Ruth Karron, directrice du Centre de recherche vaccinale de l’université américaine John Hopkins déclarait à la revue Science : “Les données que nous avons indiquent que les vaccins empêchent de développer une forme sévère de la maladie, mais cela ne veut pas dire que nous ne pouvons pas être infectés et la transmettre à n’importe qui.”

Mais depuis, plus de deux milliards personnes dans le monde se sont fait vacciner, et on dispose de nouvelles études “en vie réelle”. Ces recherches sont réalisées non pas en laboratoire ou tirées d’hypothèses théoriques, mais basées sur l’analyse des effets de la vaccination sur de larges populations, parfois même à l’échelle de pays entiers.

C’est le cas notamment d’Israël, où des chercheurs ont publié dès le mois de février 2021 une étude portant sur 1,2 millions de personnes vaccinées, dont 600 000 avec le vaccin Pfizer-BioNtech, majoritairement utilisé à La Réunion. Résultat : les personnes vaccinées seraient protégées à 92 % d’une éventuelle infection.

Autre exemple aux Etats-Unis, où 101 millions de personnes avaient déjà reçu deux doses de vaccin à la fin du moins d’avril 2021. Le Center for Disease Control and Prevention, l’agence nationale de santé publique américaine, a observé durant quatre mois, entre janvier et fin avril, combien de ces personnes avaient contracté la maladie. Résultat : seules 10 262 contaminations ont été observées parmi les 101 millions de personnes vaccinées. Pour rendre ce chiffre un peu plus parlant, on peut le présenter de deux manières :

  • Seules 0,01 % des personnes vaccinées ont malgré tout été infectées par la Covid aux Etats-Unis.
  • Entre janvier et avril 2021, sur 1 million de personnes qui ont contracté la Covid, seules 10 262 avaient été vaccinées. Soit 1 % des malades.

Ces chiffres donnent des ordres de grandeur, mais ils ne sont pas à prendre au pied de la lettre. Ces études peuvent notamment comporter des imprécisions, liées au fait que certains malades ne développent pas de symptômes, et sont ne sont donc pas détectés, ce qui peut biaiser les résultats.

Peut-on contaminer les autres même lorsqu’on est vacciné ?

Que l’on développe des symptômes ou non, l’une des questions importantes au moment de prendre une décision sur la vaccination est la suivante :

Si je me vaccine, est-ce que cela protège aussi les autres, et en particulier mes proches ? La réponse est oui, mais pas à 100 %.

Les premières études sont assez optimistes. Au Royaume-Uni, l’agence de santé publique Public Health England (PHE) (télécharger le PDF) a par exemple mesuré que dès la première dose, les personnes vaccinées sont 38 % à 49 % moins susceptibles de transmettre le virus à leur famille que les personnes non vaccinées. Autrement dit, une personne vaccinée, même positive, est beaucoup moins contagieuse et contaminera moins autour d’elle.

Ces résultats vont dans le sens d’une autre étude préliminaire, conduite cette fois en Israël sur un demi-million de personnes et relayée par la revue Nature. Selon les observations des chercheurs, qui étudient une population vaccinée avec le vaccin Pfizer-BioNTech (COMINARTY), les personnes vaccinées porteuses du coronavirus présentent une moindre charge virale. C’est-à-dire que le virus est présent en moins grande quantité chez les personnes qui ont reçu le vaccin. Cela pourrait expliquer pourquoi on est moins contagieux lorsqu’on est vacciné.

L’objectif N°1 de la vaccination : éviter les formes graves

Toutes ces questions en appellent une dernière, peut-être la plus importante : quel est au fond l’objectif prioritaire de la vaccination ? Qu’attend-on des vaccins ? Cette fois, la réponse est claire et partagée à la fois par les autorités, les médecins et les laboratoires qui ont conçu les vaccins. Il s’agit de réduire au maximum les formes graves de la maladie.

Ce sont elles qui provoquent des hospitalisations, saturent les services de réanimation, laissent des séquelles lourdes et provoquent des décès. Ce sont aussi ces formes sévères qui obligent les autorités à imposer des mesures de freinage (confinement, couvre-feu, fermetures, restrictions sanitaires, port du masque, etc.) en raison de la pression hospitalière qu’elles engendrent.

Le Pr Élizabeth Bouvet, Présidente de la Commission technique des vaccinations au sein de la Haute Autorité de Santé (HAS), est formelle sur ce point : les vaccins protègent bien contre les formes graves.

Si les données manquent encore pour savoir exactement à quel point, elle donnait au mois de mai cette explication à l’AFP, à propos du vaccin Pfizer-BioNTech : “On était sûr qu’on avait un effet sur les formes symptomatiques très, très net. Donc par déduction, comme on sait la proportion de formes graves qui dépendent des formes symptomatiques, on était sûr qu’il y avait un effet sur les formes graves.” Autrement dit : moins il y a de cas symptomatiques, moins il y a de formes graves. En prévenant les symptômes, les vaccins nous protègent donc contre les formes les plus sévères de la maladie.

L’autre vaccin proposé à La Réunion, le JANSSEN (Johnson & Jonhson) a lui démontré son efficacité dès les effets cliniques. Il prévient les formes graves à 76 %, 14 jours après l’injection, et à plus de 85 %, 28 jours après l’injection.

À savoir

En l’état actuel des connaissances, on peut donc dire :

  • Avec certitude, que le vaccin protège efficacement contre les symptômes de la Covid-19
  • Que par conséquent, il protège également contre les formes graves de la Covid19
  • Avec prudence, que le vaccin réduit considérablement les risques de contaminer quelqu’un d’autre

Vaccination face aux mutations du virus

C’est l’une des questions importantes pour l’avenir de la pandémie. Depuis quelques mois, l’apparition de variants du coronavirus met en question l’efficacité des vaccins, qui ont été développés pour lutter contre la souche historique.

Ces variants présentent en effet des mutations, c’est-à-dire qu’ils sont très légèrement différents du Covid-19. Leurs effets sont comparables, mais leur contagiosité peut par exemple être plus grande. D’où la question : les variants vont-ils être plus résistants aux vaccins que leur prédécesseur ?

Les données existantes indiquent que le vaccin est efficace contre les différentes souches de coronavirus connues, y compris le variant indien apparu récemment.

Cependant, les vaccins peuvent s’avérer un peu moins performants. Concrètement, cela veut dire que les vaccins protègent légèrement moins bien contre certains variants. Cela dépend des vaccins, et cela dépend des variants. Par exemple, il a été observé que le vaccin AstraZeneca perd beaucoup de sa capacité de protection face au variant sud-africain. C’est la raison pour laquelle il n’est pas utilisé à La Réunion, où cette souche particulièrement contagieuse est plus largement répandue qu’en Métropole.

Qu’en est-il des vaccins utilisés dans l’île ?

Si vous vous faites vacciner à La Réunion, vous obtiendrez soit une dose de JANSSEN, soit deux doses de Pzifer-BioNTech (ou une seule si vous avez deja eu la COVID). Ces deux vaccins sont utilisés justement parce qu’ils protègent bien contre le variant sud-africain :

Pfizer-BioNTech : protection à 75 % contre le variant sud-africain. C’est le résultat d’une étude menée au Qatar, un pays lui aussi très touché par cette forme du coronavirus. Publiée en mai dans le New England Journal of Medecine, cette étude encourageante montre aussi que ce vaccin immunise presque complètement contre les formes graves de la maladie.

Cette protection est plus faible que celle observée face au virus d’origine (95 %). Mais elle reste très forte.

JANSSEN (Johnson & Johnson) : 28 jours après l’injection, on observe une protection à 64 % contre les formes symptomatiques induites par le variant sud-africain, et à 81,7 % contre les formes graves de la maladie.

Rappelons que pour être autorisé, un vaccin doit protéger au moins à 50 % contre la maladie qu’il vise à prévenir.

Quels sont les effets secondaires du vaccin ?

Comme pour tous les vaccins, des effets secondaires peu graves peuvent apparaitre dans les heures qui suivent l’injection. Il s’agit de rougeur, de gonflement, de durcissement ou de douleur au niveau de la zone d’injection. Ces effets disparaissent au bout de quelques heures ou quelques jours tout au plus.

Des réactions plus générales peuvent également survenir : fièvre, malaise, douleurs musculaires ou maux de tête.

Les effets indésirables graves des vaccins, c’est-à-dire ceux pouvant entrainer une invalidité, une hospitalisation, ou mettre la vie du patient en danger sont d’après les premières données rares.

Faut-il continuer à appliquer les gestes barrières une fois vacciné ?

Oui ! Comme vu plus haut, le vaccin ne protège pas à 100 % contre la transmission du virus. Il ne fait que réduire les probabilités. Même s’il est faible, il existe donc toujours un risque de contracter le virus, notamment sans développer de symptômes, et de le transmettre. Les gestes barrière restent donc de mise pour protéger les autres.

L’efficacité de la vaccination est d’abord collective. Plus il y a de personnes vaccinées, plus la vaccination est efficace. A mesure que le nombre de Réunionnais vaccinés augmentera, il sera possible de relâcher un peu notre vigilance. Mais pour l’heure, seule un peu plus de 10 % de la population est pleinement vaccinée, et un peu plus de 20 % a reçu une dose. Pour protéger la majorité de personnes qui ne sont pas encore vaccinées, la prudence reste nécessaire.

Certains médecins encouragent même à poursuivre les gestes barrières une fois la couverture vaccinale contre la covid-19 assurée. Parce que les gestes barrières permettent de stopper d’autres virus, comme la grippe notamment. Sans parler du port du masque, se laver les mains régulièrement, éternuer dans son coude, éviter la bise ou les poignées de main en période d’épidémie de grippe ou de gastro permet de diminuer de manière importante le nombre de cas.

Est-on immunisé si on a déjà eu le coronavirus ?

L’immunité, c’est le fait d’être protégé contre une maladie infectieuse, soit parce qu’on a été vacciné, soit parce que l’on a déjà attrapé cette maladie. Dans les deux cas, notre corps a déjà rencontré le virus et sait se défendre.

A ce jour et selon les données de la littérature, sur plus de 60 millions de cas de covid 19 recensés, on n’a pu confirmer qu’une dizaine de cas de réinfection, ce qui est infime. Il y aurait donc bien une immunité acquise après l’infection. La question étant de savoir combien de temps elle dure : quelques mois, quelques années, à vie ? Cela serait très variable d’un individu à l’autre, car nous ne sommes pas égaux concernant la réponse immunitaire (variable génétique, environnementale, individuelle…). Seul le temps permettra de répondre à cette question.

Astrazeneca et Thrombose : quel est le risque ?

L’Agence du médicament (ANSM) a reconnu un risque de thrombose atypique associé au vaccin AstraZeneca contre le Covid-19, mais ce risque reste « rare ». Surtout, la balance bénéfices/risques reste en faveur du vaccin. En effet,  l’ANSM explique : « Neuf cas de thromboses des grosses veines, atypiques par leur localisation [cérébrale en majorité, mais également digestive], pouvant être associés à une thrombopénie [diminution du nombre de plaquettes dans le sang] ou à des troubles de coagulation ont été déclarés. » Pour essayer d’y pallier, la Haute Autorité de Santé recommande de le réserver aux personnes de 55 ans et plus car la plupart des cas de thrombose veineuse cérébrale sont observés chez des moins de 55 ans.

Rappelons que le vaccin Astra Zeneca n’étant efficace qu’à 10% sur le variant sud africain, il ne sera pas déployé à La Réunion.

À Savoir

Dans son avis publié le 30 novembre 2020, la Haute Autorité de Santé (HAS) a établi les grandes ligne de la campagne de vaccination contre la covid-19.

  • Fin décembre ou début janvier, la HAS recommande de vacciner d’abord les personnes âgées qui résident en établissement (par exemple en EHPAD) et les personnels qui y travaillent. 1 million de personnes sont concernées.
  • Entre le mois de février et jusqu’au printemps, ce sont 14 millions de personnes présentant un facteur de risque lié à l’âge ou une pathologie chronique ainsi que certains professionnels de santé qui seront concernés.
  • Puis à partir du printemps, la vaccination sera ouverte à l’ensemble de la population, gratuitement et sans obligation.

Encore plus de réponses à vos questions sur le vaccin contre la COVID-19 dans la Foire Aux Questions (FAQ) de l’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris (APHP).

Plusieurs questions y sont traitées notamment :

  • Le vaccin à ARN est-il sûr et efficace ?
  • Avons-nous ou pas intérêt collectivement et individuellement à se faire vacciner ?
  • Le mythe inquiète, quelle est la réalité ?

Sources

Point de situation – gouvernement.fr

Quels effets indésirables éventuels pour les vaccins Covid-19 ? – covireivac.fr

Le vaccin contre la Covid-19 – vacinnation-info-service.fr

Coronavirus : l’immunité pourrait finalement durer « des années » – futura-sciences.com

Les vaccins à ARNm susceptibles de modifier notre génome, vraiment ? – presse.inserm.fr

HAS, nov 2020. “Aspects immunologiques et virologiques de l’infection par le SARS-CoV-2 – Variabilité génétique, réponses immunitaires, plateformes vaccinales et modèles animaux”

FAQ du Ministère des solidarités et de la Santé – solidarites-sante.gouv.fr

Guide des effets indésirables – Solidarites-sante.gouv.fr

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Tous nos articles sont rédigés avec l’aide de professionnels de santé de La Réunion.