5 juillet 2017
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08 septembre 2023
Quels sont les symptômes de l’AVC ? Qu’est-ce qu’un AIT ? Testez vos connaissances sur l’AVC en moins d’une minute.
2 12345678910 Que savez vous sur l'AVC ?Quels sont les symptômes de l'AVC ? Qu'est-ce qu'un AIT ? Testez vos connaissances sur l'AVC en moins d'une minute. 1 / 10Un accident vasculaire cérébral (AVC) peut être dû à… La rupture d’un vaisseau sanguin du cerveau L’obstruction d’un vaisseau du cerveau par un caillot de sang Une hémorragie cérébrale Un infarctus cérébral Toutes ces réponses sont bonnes L’accident vasculaire cérébral (AVC), aussi appelé attaque cérébrale, se caractérise par une lésion d’une partie du cerveau. Cette lésion peut être due à deux mécanismes distincts :L’obstruction d’un vaisseau par un caillot de sang. On parle alors d’accident ischémique ou d’infarctus cérébral. À l’inverse de l’infarctus cardiaque, l’infarctus cérébral n’est pas douloureux.La rupture de l’un des vaisseaux sanguins qui irriguent le cerveau. On parle alors d’accident hémorragique ou d’hémorragie cérébrale.L’accident vasculaire cérébral (AVC), aussi appelé attaque cérébrale, se caractérise par une lésion d’une partie du cerveau. Cette lésion peut être due à deux mécanismes distincts :L’obstruction d’un vaisseau par un caillot de sang. On parle alors d’accident ischémique ou d’infarctus cérébral. À l’inverse de l’infarctus cardiaque, l’infarctus cérébral n’est pas douloureux.La rupture de l’un des vaisseaux sanguins qui irriguent le cerveau. On parle alors d’accident hémorragique ou d’hémorragie cérébrale.2 / 10Les infarctus cérébraux sont les AVC les plus fréquents. Vrai Faux Dans 80 % des cas, les AVC sont de type ischémique, parfois appelés infarctus cérébraux. La cause principale est une accumulation de dépôts de cholestérol sur les parois des artères. Ces dépôts se durcissent progressivement et forment des plaques qui rétrécissent les artères. On parle de plaques d’athérome. Dans certains cas, un fragment de ces plaques peut aussi se détacher et se déplacer pour aller obstruer d’autres artères du cerveau.Il arrive que le caillot à l’origine de l’AVC se soit formé près du cœur avant d’être transporté par le sang jusqu’au cerveau. Cela peut arriver notamment en cas de troubles du rythme cardiaque, lorsque le cœur bat rapidement et de manière irrégulière.Les AVC hémorragiques sont plus rares. Ils ne comptent que pour 1/5e des attaques cérébrales. L'arrêt de la circulation sanguine est alors due à la rupture d'une artère du cerveau. La cause principale des AVC hémorragiques est une tension artérielle trop élevée.Dans 80 % des cas, les AVC sont de type ischémique, parfois appelés infarctus cérébraux. La cause principale est une accumulation de dépôts de cholestérol sur les parois des artères. Ces dépôts se durcissent progressivement et forment des plaques qui rétrécissent les artères. On parle de plaques d’athérome. Dans certains cas, un fragment de ces plaques peut aussi se détacher et se déplacer pour aller obstruer d’autres artères du cerveau.Il arrive que le caillot à l’origine de l’AVC se soit formé près du cœur avant d’être transporté par le sang jusqu’au cerveau. Cela peut arriver notamment en cas de troubles du rythme cardiaque, lorsque le cœur bat rapidement et de manière irrégulière.Les AVC hémorragiques sont plus rares. Ils ne comptent que pour 1/5e des attaques cérébrales. L'arrêt de la circulation sanguine est alors due à la rupture d'une artère du cerveau. La cause principale des AVC hémorragiques est une tension artérielle trop élevée.3 / 10Quels symptômes doivent évoquer un AVC ? Une perte de l’équilibre due à la faiblesse subite d’une jambe De violents maux de tête Un engourdissement ou la paralysie brutale d’un bras Des difficultés soudaines pour s’exprimer ou comprendre les autres Une perte de la vue ou une vision double Toutes ces réponses sont bonnes Sachez que tout symptôme de ce type, d’apparition brutale et souvent indolore, doit vous alerter sur un éventuel AVC. Il est très important de savoir reconnaître les signes afin de pouvoir agir et traiter rapidement l’accident. Il peut arriver que ces symptômes régressent très vite sans laisser de séquelles. Mais leur disparition, même en quelques minutes, ne doit pas rassurer : il faut appeler les centres d’urgences immédiatement.Sachez que tout symptôme de ce type, d’apparition brutale et souvent indolore, doit vous alerter sur un éventuel AVC. Il est très important de savoir reconnaître les signes afin de pouvoir agir et traiter rapidement l’accident. Il peut arriver que ces symptômes régressent très vite sans laisser de séquelles. Mais leur disparition, même en quelques minutes, ne doit pas rassurer : il faut appeler les centres d’urgences immédiatement.4 / 10L’Accident Ischémique Transitoire (AIT)… ne laisse pas de séquelle ne présente pas de caractère d’urgence Se caractérise par des symptômes qui durent moins d’une heure et présente un caractère d'urgence L'accident ischémique transitoire (AIT) est une forme d'AVC causée par l'interruption temporaire de la circulation sanguine dans une partie du cerveau, d’où l’adjectif transitoire. De ce fait, les symptômes sont parfois fugaces et durent moins d'une heure. Cependant, le risque de survenue d'un AVC à la suite d'un AIT étant très élevé, celui-ci doit être considéré comme une urgence médicale.L'accident ischémique transitoire (AIT) est une forme d'AVC causée par l'interruption temporaire de la circulation sanguine dans une partie du cerveau, d’où l’adjectif transitoire. De ce fait, les symptômes sont parfois fugaces et durent moins d'une heure. Cependant, le risque de survenue d'un AVC à la suite d'un AIT étant très élevé, celui-ci doit être considéré comme une urgence médicale.5 / 10Devant des signes d’AVC ou d’AIT : J’appelle le 15 J’appelle mon médecin traitant pour prendre rendez-vous Je pars aux urgences de l’hôpital le plus proche En cas d’apparition de symptômes pouvant évoquer un accident vasculaire cérébral, il est capital d’agir en urgence. Une prise en charge immédiate permet en effet de réduire la mortalité de 30% et de limiter la gravité des lésions. Il faut donc appeler immédiatement le 15. Cet appel est gratuit depuis un téléphone fixe ou un GSM, même bloqué ou sans crédit. Prendre du temps pour appeler son médecin ou se rendre aux urgences d’un hôpital même tout proche, c’est prendre le risque de perdre du temps.En cas d’apparition de symptômes pouvant évoquer un accident vasculaire cérébral, il est capital d’agir en urgence. Une prise en charge immédiate permet en effet de réduire la mortalité de 30% et de limiter la gravité des lésions. Il faut donc appeler immédiatement le 15. Cet appel est gratuit depuis un téléphone fixe ou un GSM, même bloqué ou sans crédit. Prendre du temps pour appeler son médecin ou se rendre aux urgences d’un hôpital même tout proche, c’est prendre le risque de perdre du temps.6 / 10A propos de l’AVC ou de l’AIT : Il ne se rencontre que chez la personne âgée Il est la première cause de handicap en France Il est rare Il est toujours prévisible L’AVC est une pathologie fréquente. En France, 130 000 nouveaux cas surviennent chaque année et près de 500 000 personnes souffrent à ce jour des conséquences d'un AVC. L’attaque cérébrale est la première cause de handicap chez l'adulte, et ne touche pas que les personnes âgées. Un quart des AVC surviennent chez les moins de 65 ans. Enfin, même s’il survient souvent chez des personnes présentant des facteurs de risque, il est dans la grande majorité des cas soudain et imprévisible.L’AVC est une pathologie fréquente. En France, 130 000 nouveaux cas surviennent chaque année et près de 500 000 personnes souffrent à ce jour des conséquences d'un AVC. L’attaque cérébrale est la première cause de handicap chez l'adulte, et ne touche pas que les personnes âgées. Un quart des AVC surviennent chez les moins de 65 ans. Enfin, même s’il survient souvent chez des personnes présentant des facteurs de risque, il est dans la grande majorité des cas soudain et imprévisible.7 / 10Parmi les facteurs de risque d’AVC ou d’AIT, on retrouve : L’hypertension artérielle ou le diabète non contrôlés par des traitements Le surpoids et l’obésité L’hypercholestérolémie Le tabac et l’alcool Toutes ces réponses sont bonnes Certains facteurs favorisent la survenue d’AVC. En dehors de l’âge et de l’hérédité, sur lesquels on ne peut pas agir, on retiendra l’hypertension artérielle et le diabète, le tabac et l’alcool, l’excès de cholestérol, l’inactivité physique, le surpoids et l’obésité, ainsi que certains troubles du rythme cardiaque. Ces facteurs sont pour la plupart cardiovasculaires. C’est pourquoi l’AVC est considéré comme une maladie cardiovasculaire et non une maladie du cerveau.Certains facteurs favorisent la survenue d’AVC. En dehors de l’âge et de l’hérédité, sur lesquels on ne peut pas agir, on retiendra l’hypertension artérielle et le diabète, le tabac et l’alcool, l’excès de cholestérol, l’inactivité physique, le surpoids et l’obésité, ainsi que certains troubles du rythme cardiaque. Ces facteurs sont pour la plupart cardiovasculaires. C’est pourquoi l’AVC est considéré comme une maladie cardiovasculaire et non une maladie du cerveau.8 / 10Le traitement d’un AVC au moment de sa survenue… …est une urgence. …comprend au plus vite de la rééducation. …nécessite une hospitalisation dans un service spécialisé. Toutes ces réponses sont bonnes. En cas d'accident vasculaire cérébral, le traitement d’urgence est avant tout médical. Il vise à limiter la souffrance cérébrale en éliminant le caillot qui bouche l'artère s’il s’agit d’un accident ischémique. Plus ce traitement est mis en place rapidement, moins les séquelles de l'accident vasculaire seront importantes. La prise en charge se fait à l’hôpital.La rééducation est également un élément essentiel du traitement qui doit débuter dès les premières heures d’hospitalisation pour être pleinement efficace. Elle est ensuite poursuivie dans un centre spécialisé, puis à domicile.En cas d'accident vasculaire cérébral, le traitement d’urgence est avant tout médical. Il vise à limiter la souffrance cérébrale en éliminant le caillot qui bouche l'artère s’il s’agit d’un accident ischémique. Plus ce traitement est mis en place rapidement, moins les séquelles de l'accident vasculaire seront importantes. La prise en charge se fait à l’hôpital.La rééducation est également un élément essentiel du traitement qui doit débuter dès les premières heures d’hospitalisation pour être pleinement efficace. Elle est ensuite poursuivie dans un centre spécialisé, puis à domicile.9 / 10On peut prévenir les AVC, les AIT et leur rechute. En ayant un suivi médical régulier. En faisant contrôler sa tension artérielle. En maintenant un bon équilibre de son diabète. En adoptant un mode de vie sain (exercice régulier, alimentation équilibrée, arrêt du tabac et de l’alcool). Toutes ces réponses sont bonnes. Pour prévenir les AVC ou leurs rechutes, il faut lutter contre les facteurs de risque cardiovasculaire. Il convient donc de limiter l’excès de poids et de cholestérol en adoptant une alimentation équilibrée. Pratiquer une activité physique régulière est indispensable, arrêter de fumer et réduire sa consommation d’alcool également.Les personnes qui souffrent d’hypertension artérielle, d’excès de cholestérol, de diabète ou de troubles cardiaques doivent prendre rigoureusement leur traitement et à se faire suivre régulièrement par un médecin.Pour prévenir les AVC ou leurs rechutes, il faut lutter contre les facteurs de risque cardiovasculaire. Il convient donc de limiter l’excès de poids et de cholestérol en adoptant une alimentation équilibrée. Pratiquer une activité physique régulière est indispensable, arrêter de fumer et réduire sa consommation d’alcool également.Les personnes qui souffrent d’hypertension artérielle, d’excès de cholestérol, de diabète ou de troubles cardiaques doivent prendre rigoureusement leur traitement et à se faire suivre régulièrement par un médecin.10 / 10Après un AVC, on peut souffrir : De rien du tout De dépression De paralysie De troubles de la mémoire Toutes ces réponses sont bonnes Les séquelles après un AVC ne sont pas systématiques. Notez par ailleurs que l’intensité des symptômes observés lors d'un AVC ne permet pas de prévoir l’importance des séquelles. Ainsi, un AVC ayant entraîné des symptômes sévères et variés peut ne laisser que de petites séquelles.Parmi les séquelles communes, on retrouve des paralysies dans 30 % des cas, des troubles de la mémoire, de la parole ou de la vue, des dépressions ou d’autres troubles psychiques.La rééducation après l’AVC est un facteur majeur de récupération maximale, c’est pourquoi elle est impérative et doit être entreprise au plus vite.Les séquelles après un AVC ne sont pas systématiques. Notez par ailleurs que l’intensité des symptômes observés lors d'un AVC ne permet pas de prévoir l’importance des séquelles. Ainsi, un AVC ayant entraîné des symptômes sévères et variés peut ne laisser que de petites séquelles.Parmi les séquelles communes, on retrouve des paralysies dans 30 % des cas, des troubles de la mémoire, de la parole ou de la vue, des dépressions ou d’autres troubles psychiques.La rééducation après l’AVC est un facteur majeur de récupération maximale, c’est pourquoi elle est impérative et doit être entreprise au plus vite.Votre note est de LinkedIn Facebook Twitter
Que savez vous sur l'AVC ?
Quels sont les symptômes de l'AVC ? Qu'est-ce qu'un AIT ? Testez vos connaissances sur l'AVC en moins d'une minute.
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Un accident vasculaire cérébral (AVC) peut être dû à…
L’accident vasculaire cérébral (AVC), aussi appelé attaque cérébrale, se caractérise par une lésion d’une partie du cerveau. Cette lésion peut être due à deux mécanismes distincts :
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Les infarctus cérébraux sont les AVC les plus fréquents.
Dans 80 % des cas, les AVC sont de type ischémique, parfois appelés infarctus cérébraux. La cause principale est une accumulation de dépôts de cholestérol sur les parois des artères. Ces dépôts se durcissent progressivement et forment des plaques qui rétrécissent les artères. On parle de plaques d’athérome. Dans certains cas, un fragment de ces plaques peut aussi se détacher et se déplacer pour aller obstruer d’autres artères du cerveau.
Il arrive que le caillot à l’origine de l’AVC se soit formé près du cœur avant d’être transporté par le sang jusqu’au cerveau. Cela peut arriver notamment en cas de troubles du rythme cardiaque, lorsque le cœur bat rapidement et de manière irrégulière.
Les AVC hémorragiques sont plus rares. Ils ne comptent que pour 1/5e des attaques cérébrales. L'arrêt de la circulation sanguine est alors due à la rupture d'une artère du cerveau. La cause principale des AVC hémorragiques est une tension artérielle trop élevée.
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Quels symptômes doivent évoquer un AVC ?
Sachez que tout symptôme de ce type, d’apparition brutale et souvent indolore, doit vous alerter sur un éventuel AVC. Il est très important de savoir reconnaître les signes afin de pouvoir agir et traiter rapidement l’accident. Il peut arriver que ces symptômes régressent très vite sans laisser de séquelles. Mais leur disparition, même en quelques minutes, ne doit pas rassurer : il faut appeler les centres d’urgences immédiatement.
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L’Accident Ischémique Transitoire (AIT)…
L'accident ischémique transitoire (AIT) est une forme d'AVC causée par l'interruption temporaire de la circulation sanguine dans une partie du cerveau, d’où l’adjectif transitoire. De ce fait, les symptômes sont parfois fugaces et durent moins d'une heure. Cependant, le risque de survenue d'un AVC à la suite d'un AIT étant très élevé, celui-ci doit être considéré comme une urgence médicale.
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Devant des signes d’AVC ou d’AIT :
En cas d’apparition de symptômes pouvant évoquer un accident vasculaire cérébral, il est capital d’agir en urgence. Une prise en charge immédiate permet en effet de réduire la mortalité de 30% et de limiter la gravité des lésions. Il faut donc appeler immédiatement le 15. Cet appel est gratuit depuis un téléphone fixe ou un GSM, même bloqué ou sans crédit. Prendre du temps pour appeler son médecin ou se rendre aux urgences d’un hôpital même tout proche, c’est prendre le risque de perdre du temps.
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A propos de l’AVC ou de l’AIT :
L’AVC est une pathologie fréquente. En France, 130 000 nouveaux cas surviennent chaque année et près de 500 000 personnes souffrent à ce jour des conséquences d'un AVC. L’attaque cérébrale est la première cause de handicap chez l'adulte, et ne touche pas que les personnes âgées. Un quart des AVC surviennent chez les moins de 65 ans. Enfin, même s’il survient souvent chez des personnes présentant des facteurs de risque, il est dans la grande majorité des cas soudain et imprévisible.
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Parmi les facteurs de risque d’AVC ou d’AIT, on retrouve :
Certains facteurs favorisent la survenue d’AVC. En dehors de l’âge et de l’hérédité, sur lesquels on ne peut pas agir, on retiendra l’hypertension artérielle et le diabète, le tabac et l’alcool, l’excès de cholestérol, l’inactivité physique, le surpoids et l’obésité, ainsi que certains troubles du rythme cardiaque. Ces facteurs sont pour la plupart cardiovasculaires. C’est pourquoi l’AVC est considéré comme une maladie cardiovasculaire et non une maladie du cerveau.
8 / 10
Le traitement d’un AVC au moment de sa survenue…
En cas d'accident vasculaire cérébral, le traitement d’urgence est avant tout médical. Il vise à limiter la souffrance cérébrale en éliminant le caillot qui bouche l'artère s’il s’agit d’un accident ischémique. Plus ce traitement est mis en place rapidement, moins les séquelles de l'accident vasculaire seront importantes. La prise en charge se fait à l’hôpital.
La rééducation est également un élément essentiel du traitement qui doit débuter dès les premières heures d’hospitalisation pour être pleinement efficace. Elle est ensuite poursuivie dans un centre spécialisé, puis à domicile.
9 / 10
On peut prévenir les AVC, les AIT et leur rechute.
Pour prévenir les AVC ou leurs rechutes, il faut lutter contre les facteurs de risque cardiovasculaire. Il convient donc de limiter l’excès de poids et de cholestérol en adoptant une alimentation équilibrée. Pratiquer une activité physique régulière est indispensable, arrêter de fumer et réduire sa consommation d’alcool également.
Les personnes qui souffrent d’hypertension artérielle, d’excès de cholestérol, de diabète ou de troubles cardiaques doivent prendre rigoureusement leur traitement et à se faire suivre régulièrement par un médecin.
10 / 10
Après un AVC, on peut souffrir :
Les séquelles après un AVC ne sont pas systématiques. Notez par ailleurs que l’intensité des symptômes observés lors d'un AVC ne permet pas de prévoir l’importance des séquelles. Ainsi, un AVC ayant entraîné des symptômes sévères et variés peut ne laisser que de petites séquelles.
Parmi les séquelles communes, on retrouve des paralysies dans 30 % des cas, des troubles de la mémoire, de la parole ou de la vue, des dépressions ou d’autres troubles psychiques.
La rééducation après l’AVC est un facteur majeur de récupération maximale, c’est pourquoi elle est impérative et doit être entreprise au plus vite.
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